(1965)-(Fr,It)(1h38)  -       Comédie    

 

Réal. :     Jean Girault   

 

 

Acteurs:  L.de Funès, M.Galabru, C.Marin, G.Grad ...

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

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On perd un peu nos repères en partant a New York mais c’est une bonne et amusante idée de voir nos gendarmes découvrir cette ville : c’est toute une culture. Et il va leur arriver des choses et tout ça pour notre bon plaisir. On va avoir notre lot de gags, scènes cocasses et répliques cultes. Et surtout, c’est toujours aussi hilarant de suivre ces personnages dans leur aventure. Niveau scénario : c’est comme le premier, rien d’extraordinaire. Côté acteurs : on retrouve toute l’équipe et ça c’est bien. Louis De Funès est toujours aussi hilarant et bordé d’énergie et de créativité. Et les autres l’accompagnent à merveille dans cette excentricité. Donc voila, une suite tout aussi marrante et divertissante, on suit ces gendarmes avec le même plaisir. Je comprendrais jamais les notes 2,4 sur 5 : c’est inimaginable : c’est tellement marrant, rien que pour Louis de Funès, il faut le voir). Donc voila, un classique de la comédie à voir et à revoir : on ne s’en lasse jamais.

Tout aussi réussi que le premier volet, ce second volet des "Gendarmes" reste une agréable comédie nous emmenant dans l'Outre Atlantique, en compagnie d'une joyeuse troupe d'acteurs, qui épaulé par un Louis de Funès au sommet de son art, s'en donne à cœur joie. La leçon d'anglais est l'une des séquences cultes de cet épisode, au même titre que l'ouverture du congrès, la parodie de West Side Story ou encore l'entrecôte de Bercy cuisiné par un génial Michel Galabru. Du cinéma franchouillard de pure détente comme on l'aime.

Une très bonne suite qui repose sur l’énorme talent de Louis De Funès. Plusieurs scènes sont vraiment drôles : le cours d’anglais, le discours au congrès, le match de base-ball et j’en oublie. Un grand plaisir de le voir et revoir.

"My tailor is rich". Qui n'a pas rigolé au cours d'anglais de Louis de Funès. L'histoire limitée n'est qu'un prétexte aux facéties de Louis de Funès. En chinois, en danseur, en journaliste, ... il se déguise pour mieux nous faire rire ! Culte.

Après le succès aussi énorme qu'inattendu du Gendarme de St Tropez, une suite était évidente. Plus de moyens, plus de gags, les producteurs ont mis le paquet et cette fois, le Gendarme va faire des siennes à New-York. C'est le moment de confronter les Français aux Américains et tout est prétexte pour faire rire le spectateur, ce qui est réussi haut la main. Une leçon d'anglais mémorable, des dialogues savoureux comme les numéros d'acteurs, une parodie de West Side Story étonnante et le charme de Geneviève Grad. Une très bonne comédie.

Adieu la plage, bonjour la ville. Adieu Saint Tropez, bonjour New York. " My taillor is rich " ! Une allumette vite une allumette, réplique désormais culte. Le génie comique ne s'improvise pas il est sûrement la chose la plus précieuse à acquérir. Normal c'est un don. Un regard acide sur la mondialisation et la domination de la culture américaine. Clichés, quiproquos, gags. C'est pas souvent qu'un film est fait pour rire alors profitons-en.

Cruchot, Gerber, Merlot, Tricart, Fougasse, Berlicot...les gendarmes sont de retour! Dans ce deuxième èpisode d'une saga dèfinitivement culte, la gendarmerie mythique de Saint-Tropez a été désignée par le ministère des Armées pour représenter la France à New York au cours d'une grande fête militaire internationale! Louis de Funès assure plus que jamais le spectacle en donnant des cours d'anglais ("My Tailor is Rich"), en voyant sa fille un peu partout et en découvrant la ville de New York dans ce qu'elle a de plus grand! Quelques gags sont irrésistibles (la glace qui rend le visage multicolore) dont une scène parodique avec une entrecôte qui s'inspire de "West Side Story". On rit de bon coeur avec ces gendarmes communicatifs et chaleureux! Les nostalgiques verseront une larme en écoutent chanter la belle Geneviève Grad: "Les garçons sont gentils"...

Second opus de la saga, où l’on retrouve toute la brigade au grand complet, non plus à Saint-Tropez, mais aux Etats-Unis et plus précisément, à New York où ils représentent la France au Congrès International de Gendarmerie ! Quiproquos, loufoques et gags de situations sont toujours aussi nombreux, avec un Louis De Funès toujours aussi déchaîné. Le Gendarme à New York (1965) se permet même de nous offrir un pastiche de West Side Story (1962), lorsque le gendarme Cruchot tente de récupérer le fameux steak qu’un voyou lui a volé.

Mon deuxième préféré. Je me demande si toutes ces scènes boisées (notamment vers la fin) ont bien été tournées à N.Y.C...la magie du cinéma, sûrement !! A noter, la parodie de "West side story" (qui n'avait pas besoin de ça pour être ridicule) et la scène de l'entrecôte Bercy (peu après), assez amusantes. Et, nostalgie, le paquebot "France"..

Malgré un Louis de Funès toujours aussi bondissant et virevoltant, ce deuxième volet de la série est bien vite décevant. La faute en premier lieu à un scénario d’une minceur affligeante qui laisse les interprètes se démener sans compter au sein d’une histoire brouillonne, sans queue ni tête. En plus, les gags sont répétitifs et tournent régulièrement à la blague de potaches ; ils contribuent largement à un résultat à oublier, en tout cas très daté.

Le plus mauvais opus de la série des gendarmes. Un scénario sans consistance, des sketches d'une lourdeur sans égale, et l'ennui qui vous gagne rapidement. Il ne se passe rien entre les personnages. Tout se réduit à ce voyage à New-York, voyage d'un groupe de franchouillards bien lourds. Rien d'autre à ajouter. Visionnez plutôt "le gendarme se marie", le meilleur de la série.

Une suite ratée ou même le talent de De Funès ne suffit pas à combler le vide abyssal du scenario. Exceptée une ou deux scènes marrantes (le cours d’anglais, la séance d’hypnose...) le film oscille entre le lourdingue et le ridicule. On s'ennuie ferme pendant 1H30. Un film à réserver exclusivement aux inconditionnels de Cruchot.