(2019)-(Fr)-(1h22)  -       Coméfie   

 

Réal. :     Stéphane Ben Lahcene   

 

 

Acteurs:  N.Kalonji, P.NZonzi, M.Laroque...

Synopsis

Abou, 14 ans, fait la fierté de son père. Contrairement à ses 3 frères, il est « 1er de sa classe ». Enfin, c’est ce qu’il fait croire. En vérité, Abou est surtout le roi du mensonge et du bulletin truqué!  Quand arrive la première réunion parents-profs, il va monter le plus gros mytho de sa vie : recruter des faux profs parmi ses connaissances du quartier pour faire face à son vrai père, pendant que ses vrais profs rencontreront son faux père. Ca devrait être facile…en théorie!

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 Paris Match     Le Figaro     Libération      L'Humanité    Première      France Soir     Elle     Ouest France     L'Obs    Closer     La Croix   

Portée par un joli casting et des seconds rôles amusants, cette comédie ne manque pas de tendresse.

Une idée de scénario ingénieuse et des situations qui, à défaut de légèreté, ne manquent pas de drôlerie

Pour ses débuts à la réalisation, le scénariste Stéphane Ben Lahcene signe une comédie de banlieue inégale, mais d’un optimisme touchant.

  bonnes            moyennes           mauvaises 

Vraiment un de mes film préféré il est juste génial il respect vraiment l univers des jeunes en 2019 et n utilise pas d expression des Annee 1900 le jeu du père est également exceptionnel, un film très drôle un chef d’oeuvre!

L'intérêt d'un film qui sort en juillet c'est qu'on est déjà dans une ambiance de vacances, détendue et sans prise de tête. Alors après la piscine on va se voir un petit film en famille et on rigole bien ! Mention spéciale aux seconds rôles, Thomas VDB en tête, toujours aussi drôle.

Une très bonne comédie. Drôle, sympathique et agréable à regarder. Magnifique prestation de Pascal NZonzi dans le rôle du père africain déjà ébauché dans "Qu’est ce qu’on a encore fait au Bon dieu". Saluons également l'excellente prestation d'Issa Doumbia dans le rôle d'albert de Paris le roi de la sappe et excellent danseur. Grand plaisir de revoir aussi Fatsah Bouyahmed qui nous avait régalé dans le film "La vache". Une belle distribution et de belles prestations d'acteurs et d'actrices, Nicole Ferroni parfaite dans le rôle de la prof de SVT, puisqu'elle a enseigné cette matière (dont elle est agrégée). Michel Laroque incarne un personnage fort, Thomas VDB est hilarant dans le rôle de Tonio, les adolescents, tous contribuent à nous faire adhérer au film par leurs personnages drôles et touchants. Stéphane Ben Lahcene signe ici son premier film en tant que réalisateur, et c'est réussi. Vous passerez un bon petit moment.

Je ne comprends pas les mauvaises critiques de ce film. J'ai ri du début à la fin et franchement c'est un moment très sympathique et détendu à savourer en fin de journée ! Foncez c'est irrésistible en plus de parler de problèmes réels des immigrés en France dont personne ne semble trouver la solution et qui perdurent perdurent dans le temps et minent le moral de tout le monde...

Prenez les thèmes classiques et récurrents de la famille, de l’éducation, de la diversité, de l’enseignement. Faites-en une comédie potache et vous obtenez un scénario qui certes peine un peu au-delà de son fil conducteur principal (une difficulté à conclure ?) mais qui reste de bonne facture. Et il doit surtout cela à un excellent casting. Tous sont parfaitement à leur aise dans l’interprétation de leur personnage, haut en couleurs autant que de besoin. Assaisonné de (gentilles) moqueries et d'autodérision. On s’amuse, que demander de plus pour une comédie ?

Le premier film de Stéphane Ben Lahcène ne manque clairement ni d’énergie ni d'ambition. Tout en étant une franche comédie, il se donne pour but de traiter de multiples sujets allant de l'Education Nationale à la débrouille dans les quartiers en passant par l'immigration et même le burn-out…le tout en affichant paradoxalement une durée de seulement 1 heure 20 !
Le résultat c'est évidemment que tous ces thèmes sont traités de façon très légère et superficielle. Ce n’est pas grave me direz-vous car c'est une comédie. Mais même une comédie se doit d'avoir un peu de profondeur sinon ce n'est pas drôle. C'est dommage car il y a du rythme et du talent à l'écran, mais tout est rapide et survolé comme si on voulait passer sans cesse d'une scène à l'autre et éviter de trop creuser ou trop montrer la réalité. Pascal NZoni fait le clown et parodie ses rôles précédents et la seule qui tire vraiment son épingle du jeu est Michèle Laroque, très convaincante et même émouvante en prof de banlieue sympathique

Une bonne comédie sans prétention, sur l'école.des personnages secondaires un peu caricaturaux, une morale sur le travail paie et la vérité se sait toujours. des bonnes réparties et un bon rythme et la longueur de film ne permet pas de s'ennuyer.

Au final, une comédie consensuelle qui se laisse regarder sans accrocs, et qui plutôt que de creuser les clichés sur lesquels elle est construite semble banaliser la question de la couleur dont personne ne fait grand cas. Mais ils sont pourtant là, les clichés : cette nonchalance ne les ancre-t-elle pas ? A jouer avec le feu, on finit par se brûler… Car à quoi bon les convoquer si on ne cherche pas à les déconstruire en introduisant un minimum de complexité ? Si ce n'est de se rejouer une fois encore, à la manière d'Intouchables, le grand roman de l'intégration sans problème.

Abou est un vrai cancre au collège, il est pourtant issu d'une famille nombreuse avec un père autoritaire prônant le travail et la réussite avant tout. Son énergie et sa ruse, il les place dans l'arnaque et le mensonge.
C'est comme ça qu'il va truquer ses bulletins pour devenir le premier de sa classe, engager des faux professeurs pour ses réunions parents-profs, et engager un faux père pour les rendez-vous avec sa prof principale.A part deux ou trois scènes presque amusantes, notamment avec les faux enseignants, le reste est lourd, convenu et répétitif dans un scénario creux et sans grand intérêt. Passez votre chemin pour cette comédie vraiment faiblarde.