CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  2060 

 

 

n°2060
 
" The Wave "

 

 

(2013)-(Norv)-(1h50)  -      Action dramatique  

 

Réal. :     Roar  Uthaug   

 

 

Acteurs:  K.Joner, T.Bo Larsen, A.D.Torp ...

 

Synopsis

 

 

Après plusieurs années à surveiller la montagne qui surplombe le fjord où il habite, Kristian, scientifique, s’apprête à quitter la région avec sa famille. Quand un pan de montagne se détache et provoque un Tsunami, il doit retrouver les membres de sa famille et échapper à la vague dévastatrice. Le compte à rebours est lancé...

 

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

  Le Monde    Le Parisien    Le Journal du dimanche    Les Inrockuptibles     L'Express      Télérama      Fiches du Cinéma      Positif    

 Paris Match     Le Figaro     Libération      Mad Movies      Première      France Soir     Elle     Ouest France     Le Nouvel Obs     La Croix  

 

Cet énorme carton au box-office norvégien est porté par Kristoffer Joner, une superstar locale dont le personnage de scientifique doit composer entre ses responsabilités de père de famille et son métier. Aussi convaincant qu’agréable à regarder !

Mine de rien, le film de Roar Uthaug se tient suffisamment à l'écart des sentiers balisés pour ne pas susciter ce sentiment agaçant de déjà-vu qui nous saisit dès qu'une ville s'effondre dans un blockbuster avec une honnêteté et une modestie peu courantes en la matière.

Une réussite qui allie savoir-faire à l'américaine et réalisme. Elle arrive vite, très vite, et elle va tout submerger.

"The Wave" est un petit miracle qui place d'emblée Roar Utaugh dans la courte liste des réalisateurs norvégiens à ne pas perdre de vue.

Roar Uthaug filme de près ses personnages, caméra à l’épaule, leur donnant une place dynamique, alors même que la catastrophe naturelle les prend au piège de la claustration.

Ce récit de survie doit son efficacité à ses effets spéciaux plutôt réussis et à ses personnages qui ne manquent pas de consistance.

Spectaculaire, cette version scandinave n'a pas à rougir devant son modèle. Elle fournit la montée d'adrénaline réglementaire. Ni plus, ni moins.

Ce n'est pas un film, c'est une succession de clichés, tous empruntés aux modèles du genre, jusque dans l'épilogue grotesque.

Strié d’effets spéciaux numériques assez vilains, "The Wave" sacrifie de la sorte à une morne inflation en se bornant, faute de la moindre piste un tant soit peu novatrice, à dupliquer les modèles anglo-saxons déposés

 

Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

Il y a d'abord les sublimes paysages de fjords norvégiens, dont la beauté renvoie à la sérénité et à la contemplation méditative. Et quand les premiers signes annoncent une colère de dame nature, cette image d’Épinal devient soudaine autre, terrifiante, anxiogène. Comme la seconde partie du film, réussie dans les effets spéciaux et le suspense. Un bon petit film de catastrophe à voir en VO, bien sûr, comme tous les films étrangers pour permettre une immersion totale.

Il ne faut pas se fier à l’affiche plutôt désastreuse qui semble annoncer une vieille série B voire Z. Non, car ce film catastrophe se place directement dans le haut du panier de ce genre de productions et, pour une fois, il n’est pas américain. Ce qui sous-entend que beaucoup de défauts inhérents à leur cinéma nous sont épargnés comme la surenchère ou les personnages creux et clichés.Un bon divertissement dans le genre que l’on préfèrera à la surenchère bêta du dernier avatar en date, « San Andreas » 

Bravo aux producteurs Norvégiens d'avoir eu le culot de se lancer dans un genre exclusivement réservé aux Américains (voire Coréens). Non seulement c'est prenant, mais c'est aussi extrêmement bien joué. Des effets spéciaux dignes de la côte Ouest, ni trop ni trop peu, le tout sur un scénario qui vous fera regarder la beauté des fjords désormais avec un soupçon d'appréhension.
Les amateurs du genre ne seront pas déçus.

 

Je ne suis pas cliente des films catastrophe mais comme les productions nordiques me déçoivent rarement, je me suis laissée tenter et j'ai vraiment passé un bon moment. Rien à voir avec les films américains de ce type. Ici, aucun effets spéciaux, beaucoup d'émotions, une dimension humaine tout à fait réaliste. Une bonne mise en scène, des personnages attachant, à voir.

J'aime bien les films catastrophes. En général, on ne s'ennuie jamais avec ce genre de cinéma. Celui-ci vient de Norvège et rien que pour ça, le film mérite d'être vu. Les effets spéciaux sont convaincants. L'histoire, basé sur une histoire vraie en 1934, raconte un tsunami survenu suite à un glissement de terrain sur un village norvégien assez touristique. Malgré quelques longueurs et quelques dialogues assez simplistes, on est tenu en haleine pendant 1h puis vient la fin... nulle... complètement ratée comme beaucoup de films catastrophes.

C'est divertissant malgré quelques longueurs au début du film et quelques chichés digne des films de catastrophes Américains. On passe un bon moment mais sans plus. Le scénario tient la route. Agréablement surpris par la qualité d'interprétation des acteurs. Un film norvégien qui nous surpend parfois par son jeu d'acteurs et la scène de la vague.

Long à démarrer, les scènes de désastres sont cependant très efficaces, dont celles, fortement asphyxiantes et claustrophobes, aquatiques. L'action est alors vu, semble t-il, en temps réel. The wave, bon film de genre très professionnel, malgré certaines facilités, mérite d'être vu.

Un film catastrophe très correct et qui met en image une situation qui pourrait malheureusement se présenter dans beaucoup d'endroits en Norvège. Même si le fond fait très téléfilm à peu de moyens, les relations entre les personnages sont solides et classiques mais bien agréables. Correct sans plus.

Une bonne surprise que ce film catastrophe norvégien. D'une part grâce au cadre magnifique dans lequel il se déroule, d'autre part, et même s'il finit par tomber dans les clichés américains du genre, parce qu'il maintient l'incertitude du fait de ses origines "exotiques". Spectaculaire mais n'oubliant pas pour autant ses personnages, The wave est loin d'être désagréable à suivre.

The Wave, c’est un peu une tempête dans un verre d’eau. Moins crétin qu’un blockbuster américain, le film de Roar Uthaug n’arrive cependant pas à atteindre le même niveau d’émotion que The Impossible sur la tragédie thaïlandaise. La faute à une histoire qui se focalise trop sur une famille sans nous montrer vraiment les dégâts pour l’ensemble des habitants du Fjord. The Wave se suit avec plaisir avec de très belles images et des acteurs crédibles mais manque cruellement d’originalité pour marquer durablement les esprits. 

 

Pas franchement meilleur que les productions hollywoodiennes (enfin ça ne pouvait pas être pire), même si pour le coup la catastrophe ne touche qu’un petit village et non tout une ville voir un pays entier, c’est plus confiné et moins ouvert aux diverses exagérations de mise en scène, on est au niveau de l’humain, la dernière partie se concentre d’ailleurs sur un ressort psychologique plutôt pas mal mais qui finit par tomber inévitablement dans le pathos, je pensais que le film serait tout de même plus appliqué et résolument fataliste, loupé, dommage.

Ce n’est pas courant de voir des films venant de ce pays et surtout des films catastrophe. Car avouons le souvent ce qui fait défaut à ce style de film,c’est les effets spéciaux mal fait. The wave malheureusement ne déroge pas à ça. On a vu pire mais on a vu surtout mieux. On est limite au niveau des téléfilms du petit écran.On se contentera donc d’admirer les beaux paysages norvégien.

Un Pic de Dante version norvégienne. Ce film catastrophe scandinave reprend tous les codes du film catastrophe traditionnel. Pierce Brosnan est remplacé par un grand blond qui, lui aussi, va subir une difficulté et va tout faire pour protéger sa famille. Ce film n'a rien d'innovant dans le genre. Les effets visuels ne sont pas extraordinaires car on sent bien que le budget alloué au film n'était pas forcément démesuré non plus.

 

 

 

Index Films

 

Sommaire  MAGALMA