CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  2006 

 

 

n°2006
 
" Fin août, début septembre "

 

 

(1998)-(Fr)-(1h52)  -       Coméie dramatique   

 

Réal. :     Olivier Assayas   

 

 

Acteurs:  F.Cluzet, V.Ledoyen, A.Khanjian ...

 

Synopsis

 

 

Chronique de la vie de deux amis, Gabriel et Adrien, depuis la fin août jusqu'au début septembre de l'année suivante. Adrien, malade, se trouve confronté au terme précoce de son existence. Quant à Gabriel, il est déchiré par deux amours et devra progressivement se détacher de l'influence d'Adrien.

 

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

  Le Monde    Le Parisien    Le Journal du dimanche    Les Inrockuptibles     L'Express       Télérama      Cahiers du Cinéma       Positif    

 Paris Match     Le Figaro     Libération      L'Humanité    Première      France Soir     Elle     Ouest France     Le Nouvel Obs    La Croix 

 

il y a bien, dans tout film, une "politique de la mise en scène", qui définit les rapports de forces entre l'histoire et celui qui la raconte, les personnages et ceux qui les interprètent. Elle est ici admirablement menée par Olivier Assayas.

Chaque nouveau film d'Olivier Assayas est provisoirement le meilleur. Fin août, début septembre n'échappe pas à cette agréable singularité.

Olivier Assayas a trouvé l'approche la plus pertinente qui soit pour capter le désarroi, les incertitudes et la fragilité de personnages très contemporains

Cher Olivier Assayas, mettez plus de Beethoven dans votre petite musique !

Le film ne parvient qu'à produire une pénible impression générale de piétinement et de maladresse.

Quant au style, il recycle une fois de trop le ticket caméra épaule-longue focale-gros grain-jump cut, véritable dispense de mise en scène au service d'une vision des rapports humains digne de ces pubs socio-feuilletonnantes.

 

Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

Un film très simple, mais très profond, où chaque personnage et ses liens avec les autres sont attachants. Toujours cette ambiance un peu aérienne, propre a Assayas... Toujours cette émotion, cette beauté... Ces acteurs, excellents. Et puis l'histoire... Et à la fin, quand on s'y attend, mais qu'on est quand même surpris, et qu'on sent grandir l'émotion, simplement. En montant le film avec de longues ellipses, on peut ainsi voir les choses évoluer etc... Bref un film magnifique, touchant, dont on ne peut sortir indifférant...

Doucement Assayas avec la caméra, doucement. Bon après c'est la première fois que je vois un de ses films autant dynamique, je vais pas me plaindre. J'en ai vu que trois aussi donc forcément. C'est construit et abouti, çà change. Toujours dans le cinéma Assayas je parle bien. J'aime l'histoire d'amour maladroite. J'aime Virginie Ledoyen. J'aime le trop plein de personnages pas parfaits. Rien n'est tabou dans les dialogues, on se sent à l'aise avec les acteurs. J'aime ce cinéma.

Sans doute un des plus beaux films de son auteur, un des plus justes en tout cas dans la peinture des rapports humains, du désarroi face à la maladie. Les relations homme-femme sont particulièrement belles, servies par des dialogues remarquables, tout comme les comédiens qui les incarnent, Amalric et Balibar en tête.

J'aime beaucoup ce film. Les acteurs sont très bons et le scénario reposant. Si vous aimez les films à suspens et à rebondissement ce n'est pas vraiment fait pour vous. Les différentes parties à titre et l'avancée dans le temps de mois en mois comme une sorte de chronique sont parfaits pour donner un peu plus de relief. Pour finir ce film est très réaliste et représente parfaitement les différentes relations dans la vie d'une personne lambda, que ce soit amicales, amoureuses….tout en étant très compliquées.

 

Chronique douce-amère dans un univers bobo-intello, magnifiée par la caméra d'Olivier Assayas et la sensualité de Virginie Ledoyen, avec une courte scène de bondage restée dans les mémoires (dans la mienne, on va dire). Cluzet joue un écrivain qui se sait condamné par la maladie, dont l'ami Amalric est tiraillé par les incertitudes à l'orée de la quarantaine. Bref, "Fin août, début septembre" (1999) est un film d'auteur germano-pratin, à déconseiller aux amateurs de blockbusters américains, mais qui comblera les amateurs du genre par les thématiques abordées, l'interprétation des comédiens et le style de la mise en scène.

 

Ennuyeux, long et inintéressant à part quelques scènes, quelques minutes à sauver. N'est pas Godard qui veut. Dommage, les acteurs sont très bons mais noyés dans un style prétentieux et qui fait même mal à la tête parfois.

 L'histoire est tellement boiteuse que je ne peux même pas me convaincre de vous en faire un résumé. Je ne peux penser qu'à deux choses qui ont dû arriver. Soit Olivier Assayas était constamment absent et a donné la caméra à son neveu de cinq ans soit il a essayé de faire quelque chose qui ressemblait au film Dogme95. La caméra tourne et tourne lorsqu'il n'y a aucune raison de tourner. Lorsque vos acteurs s'assoient sur le sol vous n'avez pas à faire d'images sauvages. À moins bien sûr que le caméraman soit si occupé à ne pas tomber les escaliers à ce moment-là. Peut-être que tomber n'aurait pas été si grave nous n'aurions pas eu le reste du film...

Film pas inintéressant mais vraiment barbant dans l'ensemble !! Trop de personnages, intrigues trop confuses et acteurs moyens !! C'est long !! Certains moments nous accrochent et on se dit que c'est parti puis pouf ! ca retombe et on s'ennuie de plus belle !! Bof bof...

Film naturaliste inintéressant à la limite de l'ennui qui est facilement oublié. L'histoire a un goût de banalité, la réalisation est plate, il y a aucun rôle marquant et les dialogues sont très moyens.

Il y a des films rien qu'à voir l'affiche on se dit qu'on va s'ennuyer. Ici ça n' a pas loupé même si les acteurs sont bons on n'arrive jamais à s'intéresser aux dialogues et encore moins au scénario, une grosse perte de temps.

Adrien, un écrivain se la jouant blasé et faisant beaucoup de blablabla afin de masquer son manque d'inspiration et de talent, il aimerait gagner beaucoup d'argent, dépenser sans compter, c'est limite si il ne se colle pas l'étiquette de star injustement non reconnu par le public, point de vue vie amoureuse, il embobine une gamine de 15 ans, c'est dire si c'est un raté sur toute la ligne... Gabriel le trouve néanmoins génial, allez savoir pourquoi ? Gabriel, un charisme proche de zéro, se retrouve quand à lui avec deux superbes filles parachutés dans ses bras, il n'écoute jamais ce qu'elles ont à lui dire, il ne cherche pas à les comprendre, ne se montre enthousiasme que quand il s'agit de "tirer un coup", néanmoins les 2 filles le trouve génial et reviennent inlasseblement scéne aprés scéne dans ses bras avec l'espoir d'une relation solide, allez savoir pourquoi ? Une vision bien drôle des relations humaines...

 

 

 

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