(2014)-(Fr)-(1h22)  -      Drame romantique  

 

Réal. :     Lisa Azuelos   

 

 

Acteurs:  S.Marceau, F.Cluzet, L.Azuelos ...

Synopsis

Elsa écrivain, et Pierre, avocat, se croisent lors de la soirée de clôture d’un salon du livre : un regard, un briquet qui change de mains, des rires un peu trop nerveux, le frémissement d’une histoire possible… Une rencontre ? Sauf que la vie de Pierre, c’est d’abord sa famille : ses enfants et Anne, sa femme depuis quinze ans, celle qui l’aimera toujours, et qu’il aimera toujours, en dépit de la routine et du temps qui passe, il le sait. Elsa, de son côté, se reconstruit peu à peu suite à un divorce compliqué, se partageant entre l’écriture, ses ados qui grandissent trop vite, ses amies et une histoire légère comme l’air avec Hugo, son jeune amant. Pour elle, l’homme marié est un tabou et même pire : une erreur. Pourtant… Dès le premier regard, la rencontre de Pierre et Elsa s’inscrit dans une temporalité différente, comme si présent et futur possible se dédoublaient, s’entrechoquaient... jusqu’à créer une réalité où tout serait possible.

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 Paris Match     Le Figaro     Libération      L'Humanité    Première      France Soir     Elle     Ouest France     Le Nouvel Obs    La Croix 

D'un échange électrique dans une soirée à une danse sensuelle en boîte de nuit, la cinéaste traque l'évolution de sentiments en forme de cataclysme sans porter de jugement sur des êtres soudain frappés par une attirance plus forte que leur quotidien.

Pour éviter de déraper dans les clichés, le film s'accorde des parenthèses oniriques, voire surréalistes, une manière d'évoquer avec intelligence et humour le fantasme nourri par l'attente. Une histoire d'amour à laquelle on ne résiste pas.

Sophie Marceau est sublime, François Cluzet plus oeil de velours que jamais. Malheureusement, cette confusion entre la réalité et les fantasmes n’est pas toujours bien exploitée. On aurait aimé davantage se perdre et éviter le discours sur la mécanique quantique

Quand il s’éloigne de la romcom, le film glisse dans la tranche de vie en captant le quotidien de ses héros, malheureusement bien trop nantis pour inviter à l’identification.

Comédie romantique bourgeoise réalisée de bout en bout comme une gigantesque pub pour parfum de luxe. Ennui infini garanti.

Malgré la présence de Sophie Marceau et de François Cluzet, « Une rencontre », le nouveau film de Lisa Azuelos, réalisatrice à succès de « LOL », rate complètement sa cible.

Sophie Marceau est jolie. Cela ne suffit pas à sauver le couple d’un sacré naufrage cinématographique.

  bonnes            moyennes           mauvaises 

Un film peu banal, rempli de sentiments et d'évènements que beaucoup ont pu ressentir, joué par deux excellents acteurs aux regards ravageurs aussi bien elle que lui. Une Sophie Marceau resplendissante, qui est sans aucun doute une des plus belles actrices du cinéma international, et François Cluzet à la hauteur de son talent incontesté. Si il est vrai que l'on peut rester un peu sur sa faim, il n'échappera pas que le scénario se rapproche du thème du livre qu'écrit l'héroïne du film, et peu perçu par la mauvaise critique de certains. En ce qui me concerne, j'ai passé un excellent moment sentimental et romanesque, le plaisir d'une histoire bien jouée, partagé avec mon épouse qui l' a perçu de la même manière.

On a adoré... Belle comédie romantique Française (ça existe encore ???) de la BO, aux images superbes très glam à l'interprétation et à la mise en sçène, on passe un excellent moment qui nous change du quotidien pesant et nous fait rêver. Et si le cinéma c'était simplement ça: du rêve... ? Merci Liza Azuelos, Sophie Marceau er François Cluzet il n'y a que les Gens frustrés de Télérama qui ne peuvent pas aimer... Bravo ça fait du bien Un très beau film à déconseiller aux cons (et il y en a...). L'image est superbe, la BO est class, Sophie Marceau est rayonnante, excellent, l'interprétation géniale.Et si à l'inverse des critiques de Télérama qui ont à n'en point douter "Le monopole du bon goût" le cinéma c'était juste ça... Des petits moments de légèreté et de rêve, juste pour nous sortir du quotidien du cinéma des frères Dardenne (pâle copie du 20h).
BRAVO A LISA & A L'EQUIPE.

Film moyen, scénario pauvre, du déjà vu, le passage à l'acte ou non, le fantasme et la réalité se mélange.
Sophie Marceau est charmante tandis que François Cluzet malgré sa bonne interprétation n'est pas adapté pour ce rôle, un acteur comme Lambert Wilson aurait été préférable pour son côté à la fois charmeur et séduisant.

Un film bien réalise, un duo d'acteur impeccable. Cluzet est toujours un très grand acteur tout comme Sophie Marceau. Je suis malgré tout déçu par la fin du film, car je ne m'attendais pas a ça. Le message sur la personne "quantique" a eu du mal a passer. Je n'ai pas tout a fait compris le finale. Malgré tout, ce film est à voir.

Il faut encore avoir un peu 15ans1/2(une réflexion dans le film...) pour rentrer à fond dans cette histoire passionnelle et voir évoluer Sophie Marceau de plus en plus belle et si bien mise en évidence par la réalisatrice. Peut être même un peu trop adolescente attardée (avec ses copines). Mais quand on cherche et on pense avoir trouver l'amour, le coup de foudre, on est de toute façon un peu ridicule et énervant(e)! C'est ce que nous fait souvent ressentir l'actrice et du coup on aimerait maintenant la voir ou revoir dans des rôles plus profonds que de la maintenir éternellement dans une "boum" 3 , 4, etc! L'assemblage du duo, de la rencontre est parfaite. On oscille entre rêve, fantasme ou réalité... Du coup plutôt déçu que le film se termine sur la 1ère scène revue et corrigée. On aurait dû rester sur la l'avant dernière (la scène de l'hôtel). Ça nous permettait suffisamment de nous poser la fameuse question... Faut il avoir des remords ou des regrets...

Film vraiment mais vraiment très nul. On se demande même pourquoi il est à l'affiche. Et le couple François Cluzet- Sophie Marceau ne fonctionne pas du tout. ça se voit tout de suite que leur jeux sont faux.

On dit souvent que le cinéma français c'est de la merde. Non ! pas systématiquement. Mais ce film en est une fameuse. J'ai cru que mon cerveau était en mode encéphalogramme plat pendant presque 1h30: rien senti, rien voulu comprendre, analyser, aimer, détester, devant ce bol de tapioca tiède et pas sucré. Dialogues indigents, ados TRÈS ados, donc hyper énervants, une histoire d'amour d'une banalité sidérante, et tout ça à grands renforts de ponts de Paris au soleil couchant (on attend, en effet, que Sophie nous sorte le dernier parfum Chanel) et autres effets chics et toc. Mais j'ai bien ri devant certains passages, scènes imaginées par les personnages eux-mêmes, sensées représenter la projection de leur propre avenir, scènes grotesques tellement mal mises en décalage par rapport à la trame réelle que le spectateur ne les distingue pas tout de suite de l'action principale. C'est là une énorme erreur de mise en scène. Erreur de casting avec Cluzet aussi. Qu'est-ce qu'il a qui fait craquer cette fille, bien belle il est vrai? Excellent acteur ("A l'origine", superbe), mais ici excitant comme un filet de cabillaud bouilli. Heureusement je n'ai pas oublié de récupérer à la sortie mon cerveau que j'avais pris soin de déposer à côté de mon fauteuil dès le début du film.

Film cliché pour adolescent ou irréaliste de la vie. On sent une bonne recherche de moralité vite perdue à travers les nombreuses scènes bateaux et déjà vues. Techniquement, le montage tombe dans l'absurde. Beaucoup de faux raccords. Un trop grand nombre de gros plans sur les dents de Cluzet. Scénario pas très perspicace, trop stéréotypé, chaque scène rappelle une pub pour dentifrice, parfum, shampoing....

Une rencontre c'est l'histoire d'amour d'un vide abyssal, de sentiments noyés dans une réalisation qui se veut hyper branchouille Bobo chic avec une BO digne d'une compilation d'un premier rendez-vous romantique. Sophie Marceau, comme à son habitude tient bien sont rôle d'"Etudiante" hyper jolie, hyper fun, hyper drôle, François Cluzet à contre-emploi dans son rôle de séducteur ne tient pas la route. 1h20 de succession de plans reprenant tous les classiques de comédie romantique: les regards qui tuent, le baiser sous la pluie, la danse langoureuse, et j'en passe ...

Navet absolu. Que dire mis à part que, la mise en scène en fait des tonnes (je n'avais jamais vu ça auparavant je crois...), la photographie en fait des caisses, l'histoire est prétentieusement niaise ("la nature quantique de l'amour" => help, aidez-moi...), la vision donnée de la jeunesse est pitoyablement clichée ("wesh zyva..."), les dialogues au ras des paquerettes ("c'est pour les bolosses l'éternité" => AU SECOURS !!!!).