CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  1641 

 

 

n°1641
 
" C'est beau la vie "

( quand on y pense)

 

(2017)-(Fr)(1h33)  -       Comédie dramatique   

 

Réal. :     Gérard  Jugnot   

 

 

Acteurs:   G.Jugnot, F.Deblock, I.Mergault ...

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

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Touchante et drôle, cette comédie portant sur un père en quête de rédemption est un savant dosage entre le rire et l'émotion.

Un film d'une belle humanité.

Ça dégouline de bons sentiments, mais ça reste digeste.

Pour sa onzième réalisation, Gérard Jugnot, très bien accompagné par le prometteur François Deblock, signe une jolie fable pétrie d'humanité et d'optimisme.

Tout ça est bien vieux et moralisateur, terriblement prévisible, et, hélas, poussivement joué et filmé.

Une comédie sur fond de drame, où le rire et l’émotion ont du mal à émerger, dans un film où les bons sentiments ne suffisent pas à nourrir un scénario laborieux et attendu.

L’acteur et réalisateur signe un film inoffensif au chauvinisme revendiqué, qui vire au clip promotionnel touristique.

Ce type de films, gentils et rassurants, on en tournait déjà il y a cinquante ans. Et on en tournera encore dans cinquante ans, probablement. Celui-ci se voit sans ennui et s’oublie vite. Les époques en crise réclament des bons sentiments à foison. En voilà.

 

Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

 

Belle réalisation de Gérard Jugnot. Il nous propose avec cette jolie comédie sociale une histoire débordante de réalisme. Une histoire émouvante aux dialogues bien écrits et menée de façon dynamique. Avec de jolis brins d'humour, elle évoque la solitude, le vieillissement et nous offre une intéressante confrontation de générations. Gérard Jugnot est comme à son habitude très juste et émouvant dans le rôle principal. Il est bien secondé par François Deblock, lui aussi très convainquant. L'affiche offre aussi de jolis seconds rôles à Isabelle Mergault et à la belle Gaia Weiss. " C'est beau la vie quand on y pense" est, comme tous les films de Jugnot, un film qui a du cœur.

On suit avec intérêt l'intrigue de ce film et la confrontation de ces deux acteurs tous deux excellents. Jugnot on le savait déjà et c'est de plus un bon réalisateur et le jeune François Deblock débute brillamment et on lui souhaite de continuer sur sa lancée. Bérénice Béjo a commencé avec Jugnot et on connait sa carrière couronnée par un césar ! Isabelle Mergault est très bien elle aussi, ainsi que la jeune actrice qui donne la réplique à "Chaussette". J'ai passé un agréable moment.

Malgré le sujet "grave" le film est émouvant sans tomber dans l'excès. Beaucoup de passages drôles on passe vraiment un très bon moment !

Des répliques qui fusent, un jeu d'acteurs juste, un scénario qui tient la route, voilà ce qui fait un bon film. D'une situation extrêmement triste et douloureuse, il en ressort la vie, le bonheur et l'amour... une réussite.

 

Un petit film touchant. Mais très mal joué... Les comédiens ne sont vraiment pas au niveau. Un running gag amusant, mais peu utile sur l'histoire. La première partie du film est vraiment à oublier. Malgré tout on se laisse bien porter par la deuxième partie du film. Un Film moyen plus.

Encore une comédie de et avec Gérard Jugnot, la 11ème qu'il réalise et interprète en même temps. Cette fois, il joue le rôle d'un vieil homme (breton et ancien pilote de rallyes) qui perd son fils dont il ne s'était jamais vraiment occupé. Le coeur de cet enfant parti trop tôt va être greffé à un patient qui en attendait un. C'est alors que Loïc (Gérard Jugnot) décide de tenter de retrouver ce receveur... Le scénario est original et la rencontre entre ce vieux breton et ce jeune plein de fougue et d'insolence est véritablement explosive ! Quelques gags et quelques répliques font mouche, il faut le reconnaître. Cette petite comédie sans prétention rempli au final son contrat : nous détendre et nous divertir... Et c'est bien là l'essentiel !

J'ai un peu de mal à savoir si j'ai aimé ou si je n'ai pas aimé ce film. Globalement, je trouve qu'il ne va pas assez loin dans les pistes qu'il emprunte. En particulier le running-gag.C'est le cas le plus flagrant mais c'est pareil dans les personnages et les relations entre eux. Sinon, j'ai eu de très bons moments de sourire, voire de rire, de très bons moments d'émotion mais aussi de bien longs moments d'ennui. J'ai donc eu du très haut, du très bas. En moyenne, c'est pas mal mais tellement irrégulier que ça laisse un goût de déception.

Une histoire sympa gentille gentille, le scénario est assez prévisible, mais reste agréable. Gérard Jugnot est comme on le connaît, efficace. François Deblock est pas mal sans plus et Isabelle Mergault idem. On passe un moment sympa à voir en cas de pluie ou pour tuer le temps.

 

A l'instar de Christophe Nolan et autres grands architectes de l'image, Gérard Jugnot repousse les limites du cinéma. Avec lui, embarquez vers les tréfonds du feel-good movie, là où se croisent téléfilms low-cost et dessin-animés 1er âge. L'underground du cinéma neuneu où fond et forme se confondent pour ne laisser place qu'au néant. C'est mal casté, mal écrit, mal joué, même la BO est difficilement défendable.

Le spectateur assis devant moi est sorti de la salle au bout de 30 minutes. Ce qui n'est jamais bon signe ! Moi, par principe, je reste jusqu'à la fin. Mais que d'ennui ! Scénario raplapla. Rien qui accroche vraiment. Aucun ressort. Ah si, quelques clichés sur la Bretagne. Film si insignifiant que les Bretons n'en feront même pas reproche ! Titre étrange : "c'est beau la vie", d'accord ça peut faire un thème ; "quand on y pense", eh bien plus j'y pense, moins je comprends cette précision. J'en déduis qu'il est toujours un peu difficile de trouver un titre qui va bien et qui parle pour un scénario peu inspiré.

On ne s’attendait à rien en allant voir C’est Beau La Vie Quand Même et c’est exactement ce qu’on a eu. Gérard Jugnot n’arrive pas à transformer cette histoire de deuil et de renaissance en feel good movie tant son film manque trop d’humour et d’originalité. Rien dans ce film ne justifie le passage sur grand écran alors à moins d’avoir un abonnement illimité, vous ferez mieux d’attendre sa diffusion à la télévision car il semble clairement calibré pour cela.

"C'est beau la vie quand on y pense" est à l'image de son titre bateau, un film peu inspiré qui a un mal fou à se situer... À la base la perte d'un fils et le don d'organe, puis la découverte de celui qui le reçoit, ici l'organe de la vie, pouvait laisser espérer un film fort, émouvant voire déstabilisant... Hélas à force d'osciller entre des situations convenues et un ton faussement léger, entre des scènes clichées et des moments faussement graves, cette histoire n'arrive à aucun moment à nous atteindre, ni même à nous amuser ou ce que l'on espérait quand même, à nous poser question ! On se sent totalement extérieur à cette rencontre qui dérive sur la restauration bretonne, sur des rêves d'Australie, ou sur la remise en état d'une bien belle Renault 8 Gordini il est vrai ! Si bien que tout en devinant une fin forcément heureuse, cette comédie de Gérard Jugnot n'arrive jamais à se trouver, en n'étant ni un drame ni une comédie, alors qu'avec un peu de tendresse et une écriture des dialogues un minimum plus riche et recherchée, le jeune François Deblock et Gerard Jugnot auraient pu former un duo à la hauteur, un duo bien plus complice.

C'est un bien triste Navet signé ici par Gérard Jugnot. Plat comme une crêpe - vide comme une bolée renversée sur le zinc et évidemment encore une belle PUB pour le Ciel Breton du côté de St Suliac ! Un Nanar bien loin loin loin d'Une Epoque Formidable… mais certains rient toujours de temps en temps, car ils sont très bon public ou un peu ramolli du bulbe . . . même à Dinan ! Faut encore pouvoir écrire un scénario puis le mettre en scène, ou bien alors, s'arrêter - se décider pour la retraite - tirer la tangente. Triste !

 

 

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