CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  1474  

 

 

n°1474
 
" Doux, Dur et Dingue "

 

 

(1978)-(Am)-(1h59)  -      Comédie    

 

Réal. :     James  Fargo   

 

 

Acteurs:  C.Eastwood, S.Locke, G.Lewis ...

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

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Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

 

Phil Beddoe, bon garçon, est aussi le plus grand bagarreur jamais vu dans les bars amèricains! il voue une vèritable passion à la chanteuse Lynn Halsey-Taylor qui le mène dans une joyeuse course où tous les coups sont permis! Phil a deux potes, Orville, bon p'tit gars et promoteur de ses rencontres avec d'autres bagarreurs, et Clyde, un orang-outang adulte qui le suivent partout et mettent en oeuvre pour l'aider à retrouver Lynn! Dans "Every Which Way But Loose", Clint Eastwood s'amuse...et nous aussi! C'est drôle, efficace et super divertissant! On se marre bien avec tous ces hurluberlus de la fin des seventies, du chef des veuves noires à Clyde en passant par cette amusante mèmè. "Any Which Way You Can" est encore meilleur en partant dans cette même direction! A savoir distraire le public en cognant toujours plus fort...

Au menu de ce film: bières, amour charnel, bagarres à coup de poing avec des gages, Eastwood interprétant un camionneur modeste qui arrondit ses fins de mois en organisant des combats de rue où il sort souvent vainqueur. Cette comédie reflète l'Amérique de l'époque, la liberté de ton, la musique country, des motards qui veulent s'afficher comme des caïds et qui sont ridiculisés à chaque tentative d'enfreindre la loi plus une mémé qui tire au fusil à pompe et des policiers revanchards. James Fargo élabore une comédie plaisante, change l'image cataloguée de Clint Eastwood qui s'avère être extrêmement drôle.

 

Un divertissement très sympathique dans lequel Eastwood prend un malin plaisir à s'autoparodier. L'orang-outan Clyde, par son charisme et sa présence doublé de son jeu exceptionnel volerait presque la vedette à l'acteur. Le duo est soutenu par des seconds rôles de poids comme Sondra Locke ou encore Geoffrey Lewis. Le film est une comédie familiale très sympathique avec des méchants beaucoup plus amusants qu'effrayants, des personnages iconoclastes, un scénario mince comme un fil de fer mais en même temps, on est là pour débrancher les neurones et se marrer, rien d'autre. A voir absolument pour regarder Eastwood s'essayer au genre de la comédie.

Attention, mesdames et messieurs : ils sont rares, mais « Doux, dur et dingue » en fait partie : voici un film qui ne compte aucune intrigue ! Ah si, pardon : Clint rencontre une jolie fille, celle-ci disparaît et Clint part à sa recherche. C'est tout ? Ba ouais ! Et le pire, c'est que ce n'est pas si mal. Enfin, pas si bien non plus... La mise en scène n'a pas grand intérêt, nous sommes à un niveau d'humour peu élevé et les personnages ridicules et/ou caricaturaux sont légions (qui a parlé des Hells Angels?). Cela dit, avouons que le rythme n'est pas déplaisant, que quelques répliques sont très drôles, que le numéro pas subtil mais ô combien efficace d'Eastwood fonctionne à merveille et que Clyde l'orang-outan est un spectacle à lui tout seul. Bref, un pur moment de récréation pour le réalisateur de « Sur la route de Madison »

Prenons ce film comme il doit être pris, comme une farce : entre des combats aux bruitages exagérés, un orang-outan qui fait des bisous, deux flics qui rigolent en tenant une arme, des motards idiots et malchanceux ou même une vieille qui tente de passer son permis, il y a de tout ça dans Doux Dur et Dingue. Par delà cet aspect comique, Eastwood se permet même d'apparaitre tantôt combattant, tantôt benêt michtonné par une "pro". Un écart comique pour le grand bonhomme qui fleure bon la fin des 70s.

Film sympa et divertissant avec de l'humour, un Clint Eastwood qui cogne et une bande de bikers stupides, une histoire déjantée mais originale.

Un genre nouveau à l’époque et qui n’existe plus aujourd’hui remplacé par une violence d’où l’humour a disparu. Ici, c’est étonnant d’audace, la séquence du faux pécheur qui vient pour démolir Philo Beddoe et qui prend son poisson dans la figure, il ne faut pas avoir peur du ridicule pour tourner cela et terminer en plus par le cri de Tarzan. Nous sommes dans les années d’idylle entre Sondra Locke et Clint , c’est très agréable car cette attirance passe bien l’écran. Doux, dur et dingue, c’est aussi un titre parfait et la bande des ‘’hell’s angels’’, un ramassis de bras cassés plus crasseux et bêtes les uns que les autres ne dépare pas dans l’ambiance générale. Eastwood, 48 ans a un charme fou et avec l'orang outang il forme un couple cinématographique surprenant. Bref, un bon divertissement familial tout à l’honneur des américains.

Un petit divertissement simpliste mais efficace dans lequel Clint Eastwood se voit confier un partenaire aussi inattendu qu'attendrissant.

Doux, dure et dingue est une bonne comédie dramatique de James Fargo. La mise en scène du réalisateur est correct, le film est divertissant et le scénario est travaillé (bien que plat). A noter que les acteurs comme Clint Eastwood, Sondra Locke ou encore Geoffrey Lewis sont juste dans leurs rôles. Bref, ça se regarde.

Un road-movie pas très fin mais sympathique qui comprend de nombreuses scènes drôles, en particulier celles avec les motards stupides qui se feraient battre à un match de boxe par leurs grands-mère. Ce film permet aussi à Clint Eastwood de sortir des rôles de durs en interprétant certes un dur qui donne des coups de savate avec autant de facilité qu'à un facteur à distribuer le courrier mais qui se révèle surtout un grand dadais sentimental. Et il est ici accompagné d'un partenaire très attachant et très à la hauteur : un orang-outon nommé Clyde. N'ayant visiblement d'autres prétentions que celui de divertir sans se prendre la tête, "Doux, dur et dingue" est un film très tonique qui se laisse voir sans problème.

 

Un scénario des plus primaires, des bastons à gogo, des bikers débiles au possible, des culs-terreux du Sud profond et un humour de bas étage : voici le cocktail de ce pur produit écervelé des années 70. Pas grand chose à en dire si ce n'est qu'on oubliera vite. Ça n'est pas déplaisant à voir, mais le manque de finesse du tout est un peu agaçant.

Doux, Peu Dur et pas du tout Dingue... C'est pas fameux, Clint se trimballe tout le long du film son l'orang-outang et on rit peu, ça cogne peu et rentre pas assez dans le sujet souhaité, bonne ennui sur sa longueur. Deux points positif à retenir, c'est l'actrice Sondra Locke qui fut la compagne durant une quinzaine année de Clint et ayant tourner tous deux à plusieurs reprises. Ensuite le deuxième point est bien la seule touche d'humour, c'est la grand mère qui passe son permis, sans compter que cette mémé ne se laisse pas abattre et se défend également comme une sorte de Ma Dalton à coup de fusil à pompe durant la scène avec des bikers loosers, dont le clan se prénomme les veuves noires.

 

 

 

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