CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  1336 

 

 

n°1336
 
" La folle journée de Ferris Bueller "

 

 

(1986)-(Am)(1h42)  -      Teen-movie     

 

Réal. :     John  Hughes   

 

 

Acteurs:  M.Broderick, A.Ruck, M.Sara ...

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

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Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

 

Prototype (trop) souvent copié mais jamais égalé du teen-movie à l’américaine, Ferris Bueller’day off a su marquer toute une génération et imposer par la même les stéréotypes de telles comédies. Avec son discours désinvolte et son interaction avec la caméra, le personnage est d’autant plus attachant que le film est, comme savait si bien le faire John Hughes, parfaitement ancré dans l’esprit des années 80, jouant sur l’image et le rythme. Matthew Broderick, même s’il a depuis été relégué au rang d’acteur de seconde zone pour nanars, était pourtant irrésistible dans ce rôle mythique de cancre plein de bonnes idées pour manipuler tout le monde, aussi bien ses parents que le serveur du restaurant. Parmi ses victimes, le proviseur retors qu’incarne Jeffrey Jones est lui-aussi particulièrement hilarant. Le scénario, aussi astucieux que son héros, et la mise en scène survoltée et tout aussi ingénieuse permettent à cette comédie de référence de cumuler des situations surprenantes, comme le caméo de Charlie Sheen, et même des extraits cultes comme le fameux "twist and shout" collectif.

LE meilleur film d'ados du réalisateur John Hughes. La Folle journée de Ferris Bueller est à la fois un divertissement agréable car l'histoire est pleine d'énergie mais aussi une reflexion interessante sur la vie des personnages. Les seconds rôles sont importants et parfaitement interpretés et la bande son est superbe. Film qui ne vieillit pas, qui ne vieillira sans doute jamais car on en apprend trop et on retient tout tellement ce chef-d'oeuvre du cinéma est marquant.

Nul mieux que J. Hughes n'a réussi à représenté les tourments de l'adolescence, bien loin des préoccupations actuelles sur le cul, l'alcool et le sexe. Non, là, on s'intéresse à cet âge où l'espièglerie est reine et où les tourments nous agitent dans des réflexions pertinentes sur notre avenir. On va donc suivre les aventures de cette feignasse professionnelle de Ferris Bueller qui va entraîner plusieurs personnages dans une journée complètement dingue et durant laquelle il sortira de chaque mauvais pas grâce à son culot, son esprit vif et une chance monumentale. Le rythme est enlevé, le scénario brillant, alternant entre gags mortels et réflexions pertinentes, la mise en scène suit, les acteurs sont déchaînés et le tout est agrémenté d'une BO particulièrement jouissive. Bref, il s'agit là d'un véritable mètre étalon de la comédie ricaine, qui inspirera de nombreux auteurs (à commencer par ceux de "Malcolm"), un chef d'oeuvre du teen-movie, un genre noble et intéressant quand il est fait avec talent.

Meilleur teen movie de tous les temps !!! Tout le monde veut être Ferris, tout le monde aime bien Cameron, tout le monde trouve Sloan belle... Sauvez Ferris !!!!!!!!

Film hilarant, ou Matthew Broderick excelle. Une des plus grandes réussites en matière de comédies du style 'American teen movie' des années 80. A voir, pas trop souvent pour ne pas s'en lasser, mais quand même de temps en temps. Ça ne peut pas faire de mal.

 

"Ferris Bueller's Day Off" est un teen movie largement plus subtil que la moyenne, qui évite l'humour potache et les allusions sous la ceinture. L'ensemble est bien rythmé, et plusieurs gags sont originaux. En revanche, la morale est très douteuse : le film fait passer les professeurs et leur proviseur pour des ahuris, l'éducation pour une corvée, il glorifie les cancres, et incite littéralement à sécher l'école dans son final (sous le prétexte du carpe diem...). Toutefois, Matthew Broderick parvient à rendre son personnage sympathique, alors que sur le papier il n'est qu'un paresseux arrogant, manipulateur, et égocentrique. Au final, le film reste amusant mais de destine avant tout aux adolescents.

Une folle journée d'aventures buissonnières de lycéens, regardable par tout le monde, y compris des enfants, puisque les protagonistes sont loin d'être des terreurs. On ne s'ennuie pas, et... c'est tout, il ne faut pas chercher autre chose.

Je devais le voir, en hommage à la série "Parker Lewis ne perd jamais" dont j'étais fan. On reconnait tous les personnages ou presque, de la soeur frustrée au chef d'établissement stressé, en passant par les parents modèles. Mais si les idées sont bonnes, le film m'a tout de même déçu. On ne rit pas beaucoup, les ficelles humoristiques sont trop grosses. Je le conseille avant tout aux jeunes adolescents. Ceux qui ont aimé la série "Parker Lewis" apprécieront de le voir une fois, mais pas deux.

Ce film est un mystère. Alors qu il est juste un teen movie extrêmement classique, il dégage une impression de sympathie incroyable. Matthew Broderick nous entraîne avec lui dans sa folle journée de lycéen qui sèche les cours. A déguster comme un paquet de bonbon : c est pas bon mais c est bon.

 

Une folle journée pour Ferris Buller, peut être? mais interminable pour le spectateur. Le personnage principal est infect et l'on ne peut pas dire que les désirs de cette jeunesse soient très exaltants. Un portrait terriblement année 80.

Au delà d'être le prototype même de la comédie américaine pour adolescents. "La folle journée de Ferris Bueller" est le reflet de l'insouciance des années 80 et véhicule des valeurs propres aux Etats-Unis : on ne réussit pas en pleurnichant mais en agissant et en affrontant les problèmes. C'est le genre de film que l'on trouve cool à douze ans et que l'on renie aussitôt l'âge adulte arrivé.

Non ça ne passe pas. Autant certains films des années 80 passent mais celui-ci est d'un ennuie mortel. Peut être que ça plaisait aux gens à l'époque mais je trouve ce film tellement niais... blague hyper lourde et nulle. J'ai eu du mal à regarder jusqu'au bout... et quand Ferris nous parle... voila quoi.... oui ça ressemble à Parker Lewis... mais en beaucoup moins fun.

 

 

 

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