CINECRITIKIUM

 

 

 Fiche  831 

 

 

n°831
 
" Borsalino "

 

 

(1970)-(Fr,It)(2h06)  -      Policier   

 

Réal. :     Jacques Deray   

 

 

Acteurs:  J-P.Belmondo, A.Delon, A.Bolet ...

 
  Critiques Presse 

  bonnes            moyennes           mauvaises      critiques  nd    

 

Le Monde    Le Parisien    Le Journal du dimanche    Les Inrockuptibles     L'Express       Télérama      Cahiers du Cinéma       Positif    

 Paris Match     Le Figaro     Libération      L'Humanité    Première      France Soir     Elle     Ouest France     Le Nouvel Obs    La Croix 

 

 

Critiques Spectateurs

  bonnes            moyennes           mauvaises 

 

 

"Borsalino" est (bé)bel et bien un classique indétrônable du cinoche français. Avec le duo Belmondo/Delon au sommet de son art, la réalisation classe de Jacques Deray, et la musique entraînante de Claude Bolling... Culte.

A l'heure du vedettariat, Borsalino réunissait les deux figures charmantes et représentatives du cinéma français des années 60 : Alain Delon et Jean Paul Belmondo. Embarqués dans une réjouissante reconstitution du Marseille des années 30, Roch Siffredi et Frank Capella mènent la danse, s'entendant comme deux larrons en foire, fauteur de troubles et habiles bandits. Leur parcours à l'écran est retranscrit avec un rythme plaisant, rondement mené et soutenu par l'inoubliable joli petite musique de Claude Bolling. Borsalino reste notamment intéressant dans la mesure où les deux héros entretiennent une conscience aigüe de la contingence du milieu du gangstérisme et découvriront les limites de leur amitié à travers leur désir de toujours creuser leur sillage plus loin.

L intérêt de ce polar en costumes rayés tient moins dans le scénario inspirée de l histoire vraie de Carbone et Spirito, parrains marseillais des années 30 , qu'au au casting : Belmondo et Delon , les "kings" du box office des années 70 ....le choc fut sur l écran mais aussi en dehors , Bebel allant jusqu'au procès parce que son nom passait au second plan de l'affiche ! Ce film de 1970 , réalisé par l'un des maîtres du polar français , Jacques Deray qui sortait requinqué de son succès de " La piscine" , dégage une saveur unique , mêlant mitraillette, camembert , reconstitution d'époque magnifique et la bande originale merveilleuse de Claude Bolling au piano bastringue. Le duo Belmondo/Delon fait des étincelles dans ce film génial ou l'humour va de pair avec l'amitié virile. Un classique .

Deux ans avant Le Parrain, Jacques Deray nous prouvait que nous aussi, en France, on peut faire de bons films de gangsters avec en plus, en tête d'affiche Belmondo et Delon!

Ce film réuni un des plus grands acteurs du cinéma mondial Jean paul Belmondo et une star du cinéma Français Alain Delon et c'est pour ça que même la jeune génération aujourd'hui aiment autant ce film que les générations précédentes. Borsalino est un des meilleurs films de gangsters du cinéma Français qui n'a pas grand chose à envier aux films de Coppola. L'intrigue est très bonne on suit l'histoire de deux voyous qui progressivement deviennent les maîtres de Marseille en balayant toute concurrences. Jeux d'acteurs magnifique, musique inoubliable. L'orgueil de Delon lui fera participer à la suite "Borsalino et co" qui ne recevra pas autant d'éloges que le premier. Un film à voir!

Une référence dans le film policier français. Voir nos deux icônes Belmondo Delon réunis est un pur bonheur. De l'action, du talent, une superbe réalisation... Merci Monsieur Deray.

Un très bon film policier, avec d'excellents acteurs crédibles, qui nous captive d'un bout à l'autre.

 

Voir Delon et Belmondo réuni dans un même film est un réel plaisir malheureusement je n’ai pas trouvé Borsalino extraordinaire. Le ton est trop léger (surtout dans sa 1ère heure) pour ce genre d’histoire ; on est loin de la beauté d’Il était une fois en Amérique et de la profondeur du Parrain. Le scénario est mal écrit, le film est brouillon, on ne rentre jamais réellement dans l’histoire ; la dernière demi-heure est plus intéressante. La BO est jolie.

Un vrai film d'époque avec ses scène de bagarre complètement chiquées. Il y a comme un certain goût de "Il était une fois en Amérique", mais version super light ! Gardons donc en mémoire ce film comme la réunion de 2 monstres sacrés du cinoche français au top de leur forme....

En temps que grand fan de Belmondo, et amateur du cinéma de Jacques Deray, j'attendais beaucoup de Borsalino. J'ai globalement été déçu. En effet, le film n'atteint jamais les sommets auxquels je m'attendais. Donc un bon polar, avec de grands acteurs et une musique superbe, mais pas un classique.

 

Un film tiré vers le haut par la sublime prestation de Bebel. Musique inoubliable bien sûr. Période attirante que celle des années 1930, avec ces costumes cintrés, ces belles voitures. En revanche le rythme est parfois trop lent, on sent passer les deux heures. Le jeu des acteurs dans les bagarres ou dans les fusillades est ridicule. Messieurs, quand on se prend une balle, on ne se tortille pas comme un asticot. Mademoiselle, il ne faut pas anticiper la baffe que vous allez prendre dans votre joli visage. Et puis la fin est triste, je ne peux pas en dire plus mais bon.

"Salut c'est Bebel" "Salut c'est Delon" bon, j'ai tout dit... Ah non! y'a une histoire je crois mais j'en suis pas sûr... C'est censé reprendre l'histoire de Carbone et Spirito mais la fiction est largement dépassée par la réalité (concernant le coup du match de boxe truqué ils auraient mieux fait de reprendre l'histoire vraie plutôt qu'inventer ce truc digne de Kick et Flupk) Voilà, voilà... Ah sinon c'est Eugène Saccomano qui a eut l'idée originale du film, par contre je ne sais pas si c'est lui qui a demandé à ce que les truands soient affligés de la danse de Saint-Guy à chaque coup de flingue. Putain la classe quoi! Ça pourrait être du pré-Scorcese mais c'est réalisé avec la force d'un show des Carpentier. Vindieu! Tu prends les meilleurs acteurs français t'injectes à bloc du pognon et t'obtiens une bouse pareil, un film visionnaire dans un sens...

Célébrant la première rencontre cinématographique entre Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, «Borsalino» raconte l’ascension de deux truands dans le Marseille des années 30. Inspirés de deux individus ayant réellement existé et réalisé par Jacques Deray, on est quand même bien loin des grands films du genre. C’est plat, long, vieillot et ennuyeux. Une renommée surfaite en somme d'où se détache le célèbre thème musical de Claude Bolling et la classe des costumes.

Non désoleé mais il ne faut pas chercher...c'est pourri.La réalisation est plate,ça tourne en rond. La longue scéne au début du film ou ils se tapent dessus est censés nous faire rire(ou nous impressioner peut-etre) mais j'ai surtout vu que cette scène se terminait pas.  Mais c'était juste une scéne pour nous montrer tout ce qui va se passer dans le film(veilles bagarres,vieilles fusillades,les deux personnages qui sont d'accord,deux minutes après il le sont plus. Le film vaut juste pour la présence d' Alain Delon et de Jean-Paul Belmondo, la présence,pas le jeu car la encore, ça s'est pas foulé !

 

 

 

Index Films

 

Sommaire  MAGALMA